récit

  • Publié en 2019 dans « Espaces d’interférences narratives ; Art et récit au XXIe siècle » aux Presses universitaires du Midi, sous la direction de Jean ARNAUD ce texte interroge la bande dessinée comme art démocratique. La bande dessinée est un art populaire. Puisque l’artiste, lui, « est souverain, dans le sens fort du mot », ne devrions-nous pas nous demander comment la bande dessinée conjoint souveraineté et dimension populaire ? Peut-on parler de souveraineté populaire ?

  • Publié dans la revue Convocarte n°4 « Art et activisme politique: théorie, enjeux et concepts, en 2017. La question que je souhaite aborder ici est celle de l’effet « micropolitique » du travail d’un artiste qui intègre à la sphère artistique une structure de travail qui se veut agissante au niveau « macropolitique » : un cabinet ministériel. L’art prendrait-il sa revanche sur l’artiste, comme un acte manqué (de l’art) qui viendrait révéler à l’artiste son entêtante insistance ? C’est ce que nous espérons interroger.

  • Si la profusion de récits éphémères, fragmentaires, recomposables et formatés conduit maintenant à une préoccupante uniformisation des cultures, le désir de contre-narrations élaborées notamment par les artistes pourrait tout aussi bien se révéler capable de donner corps à une mondialité fondée sur une nouvelle forme d’humanisme.

  • Exposition co-produite par le BPS22, présentée à Charleroi dans le cadre de l’exposition Panorama, sous commissariat de Nancy Casielles. Elle évoque le champ de la Bataille de Waterloo et son classement en vertu d’un loi en tant qu’espace protégé.