presse
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Revue de presse. L’installation Extinction des feux a été présentée dans l’exposition là où je me terre Jean-Marie Wynants dans le soir du 05/05/2023 A la croisée de l’art, des sciences, de la sociologie et de la psychologie, l’Iselp propose avec Là où je me terre, un parcours lumineux, souvent teinté d’humour, émouvant et parfois même […]
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Article de Fabien Ribery publié sur son excellent blog L’intervalle au sujet de Classement diagonal / diagonal listing (2018). « A sa façon finement subversive, l’artiste nous offre un voyage dans les archives, et la parole […] » écrit-il. Et précédemment : « Classement diagonal est un livre construit comme un écheveau de signes, une pelouse synthétique de significations, signifiances, chaque mot et image étant susceptible d’être le sujet d’une dérivation sémantique. » Au fond, que chaque image et chaque mot soit susceptible d’être le sujet d’une dérivation sémantique, cette instabilité à l’œuvre, n’est-ce pas cela qui est subversif ?
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It is not silent, but it gives discussion L’exposition de la galerie Kogo, dont je devrais d’abord parler ici, a commencé à être préparée par l’artiste peu de temps avant que le premier animal blindé infecté par le virus ne l’injecte dans la peau d’un humain en Chine. De mon bureau, situé à Apparatus Factory, où […]
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Article factuel de Caroline Montpetit dans « Le Devoir » à l’occasion de l’exposition « échoué n’est pas coulé » au centre d’art et d’essais contemporains Occurrence de Montréal. Un manoir des Laurentides devenu centre culturel fait l’objet d’une exposition
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« Échoué n’est pas coulé » est une exposition d’arts plastiques qui rend hommage à l’histoire d’un bâtiment moderne, en béton, qui gît, tel un paquebot échoué, au bord du lac de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson. L’artiste belge Bruno Goosse, a suivi les traces de ses concitoyens, l’homme d’affaires Louis Empain et l’architecte Antoine Courtens, venus dans les Laurentides, dans […]
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L’article de Benoît Dusart dans l’Art même 77, aborde le livre classement diagonal/diagonal listing par ce qui, pour moi, est sa partie la plus « dure » : le débat politique, tel qu’il apparaît (parfois) au sein des assemblées, et l’écart entre le moment de l’échange, de la dispute, et la réification en un texte qui, par son existence même, rend inaudible les tensions qui y ont conduit.
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Hugues Le Paige a consacré sa chronique image dans l’excellente revue POLITIQUE au livre « Classement diagonal » « Mais pourquoi donc mettre « en forme des matériaux iconographiques et textuels liés au champ de bataille de Waterloo » sous le titre Classement diagonal, comme l’a fait l’artiste plasticien Bruno Goosse d’abord dans une installation[1.Présentée au BSP22, Musée d’Art de la […]
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Le choix et le dispositif des images, la mise en page sous forme de dialogue entre les textes, les photos et les documents, et le registre de couleur des pages, apparentent la réalisation à une installation.
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Revisiter le panorama, réinventer le paysage, tels pourraient être les leitmotivs de cette exposition, synthétisée par Classement diagonal, oeuvre majeure de Bruno Goosse conçue en partie pour la manifestation. Partant du champ de la Bataille de Waterloo (dont le panorama peint est toujours visible), il s’interroge sur notre rapport au réel et à l’image par-delà […]
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Il n’y a sans doute pas de meilleur exemple de mixité des techniques que la vaste installation dans laquelle Bruno Goosse multiplie à l’envi les approches d’un site historique classé, celui de la bataille de Waterloo. Son propos se situe au croisement du document, de l’illustration, du dispositif morcelé, de l’interprétation par objets, textes ou […]
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« En proposant No Vacancies, Bruno Goosse joue sur l’ambiguité entre le tourisme tel qu’il était pratiqué, sous tente, dans les premiers « Club Med », et la situation des réfugiés. … jouant sur les similitudes formelles, l’installation a pour but d’éveiller les esprits en invitant les spectateurs à passer d’un registre à l’autre. « Caroline Dunsky
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L’ambiguïté formalisée, Espace vie, Caroline Dunski En proposant NoVacancies, Bruno Goosse joue sur l’ambiguïté entre le tourisme tel qu’il était pratiqué, sous tentes, dans les premiers « Club Med », et la situation des réfugiés. Caroline Dunski
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Ce qui se trame dans une exposition, Tristan Trémeau, l’artmême n°32, 3e tr. 2006 Cette seconde exposition devrait manifester ce que l’expérience de l’artiste vécue à Troyes a déterminé comme déplacements qualitatifs de son regard sur son travail, en l’attente de ce qu’elle suscitera comme déplacement dans l’économie de celui-ci.
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Bruno Goosse décline ainsi les multiples manières de voir la réalité, de la transformer. Un sujet inépuisable et magnifiquement traité.
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L’ensemble s’avère riche d’exploitations multiples n’excluant nullement les interférences ou les recouvrements partiels. … se décline tout un parcours artistique visuel et mental, immanquablement analytique de cette situation de confrontation des réalités et inévitablement prenant en compte le temps du trajet aussi bien que des éléments rencontrés en chemin.
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Artistes belges internationaux, Claude Lorent, art actuel et contemporain, supplément de la Libre Belgique du 19 avril 2006.
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