hygiène

  • (ou la revanche de l’image oubliée) La bibliothèque idéale d’Empain, détail, 2021, CC-BY Bruno Goosse. Fusées, force atomique, mines d’uranium, tout cela laisse présager un avenir fantastique pour ce pays vide. Rien d’étonnant à ce qu’une agitation mal réprimée règne dans tout le Territoire du Nord. Au cours de mes voyages, j’ai rencontré un seul […]

  • Faire le récit d’une exposition lorsqu’elle a été démontée. Que serait une telle histoire racontée par son auteur ? Une manière de donner forme à ce qu’il reste de certaines idées et sensations qui l’ont traversé durant la préparation de l’exposition ? Un mixte improbable de souvenirs dont il est parfois difficile de se défaire et de restitution du regard neuf posé sur l’exposition au moment où, enfin, elle peut s’éprouver corporellement ? Car une chose paraît certaine : lorsque le dernier élément est considéré comme à sa place, l’auteur peut enfin voir l’exposition, et ce qu’il voit à ce moment là, malgré sa…

  • Précis d’hygiène haptique, la philanthropie bien tempérée de Monsieur Empain, étude de David Martens, dans L’exporateur , feb 2022. L’exposition plonge l’initiative philanthropique de Louis Empain, et la production livresque [que l’artiste] réunit sous les yeux de ses visiteurs, dans un contexte peu connu. Son geste artistique en questionne une série d’éléments saillants, matériels et institutionnels, en leur restituant leur portée symbolique et idéologique à la faveur de leur agencement au sein d’une exposition.

  • Vous êtes-vous lavé les mains est le titre d’une exposition présentée à l’été 78, à Bruxelles du 14/11 au 18/12/2021 qui s’inscrit dans un projet relatif à l’entreprise philanthropique de Louis Empain, Pro juventute. La comparaison de deux cartes postales des années trente représentant la cours de récréation de l’institut de Sainte-Ode air et soleil, […]

  • Exposition. Vous êtes-vous lavé les mains est une installation présentée du 14/11 au 18/12/2021 à l’été 78, à Bruxelles. Dans la cours de récréation de l’institut de Sainte-Ode « air et soleil », une carte postale des années trente laisse voir une construction octogonale semblant être un monument ou une fontaine. L’édicule n’apparaît plus sur les documents des années 50. La légende de la carte postale indique qu’il s’agit d’un lave-mains.